Le marché bancaire a traversé une période de crise durant deux ans. Cela a affecté toute l’Europe ainsi que le continent américain. En effet, ces deux continents étaient en conflit sur le domaine financier. Mais, un accord de finalisation des lois appelées Bâle 3 a été signé suite au conseil de gouvernement du Comité Bâle. Ce qui devrait normalement remettre les roues sur les railles.
Une nouvelle collaboration banque/assurance en vue
La révolution financière se présente par la suppression des barrières entre des différentes institutions. Cet évènement a conduit à une élimination de frontières entre le secteur de la banque et celui de l’assurance. D’où l’apparition du terme bancassurance. Il s’agit des services financiers qui imprègnent les produits de la banque et de l’assurance, comme l’adhésion d’assurance des moyens de paiement ou l’assurance en cas de perte de travail, accompagnée d’une tenue de compte courant.
En d’autres termes, la banque et l’assurance peuvent se collaborer, cela se fait par la création ou l’acquisition d’entreprise d’assurance par des entités bancaires. Cette coopération peut aussi se faire par l’insertion de divers groupes d’assurance au sein de la banque.
L’accord de Bâle, le point
Après avoir vécu deux années de bouleversement, le comité Bâle n’aurait plus de souci à l’heure actuelle. La période de crise où les banques, les gouvernements et les banques centrales ont eu une certaine méfiance, est terminée.
Cette évolution est due à la prise de décision des membres du comité lors d’une assemblée qui s’est tenu jeudi. Ces bourreaux de la banque ont établi un accord dans le but de finaliser l’accord de Bâle 3.
Le président du groupe GHOS conçoit que cet accord est favorable pour ceux qui travaillent dans le milieu bancaire. C’est un chemin qui mène vers une plus grande stabilité du procédé de fonds propres et vers une amplification de confiance des acteurs du milieu bancaire.
La crise financière de 2010 a permis aux autorités de tirer des leçons pour l’avenir. Conscient de la nécessité d’endurcir les règles, en 2016, le comité par le biais du G20 a entrepris le changement. La crise n’était plus qu’un simple souvenir, le comité de Bâle a rendu la situation en un affrontement entre les banques. Un fait qui a amené le comité à évaluer le risque de chaque banque selon ses expositions.
Ainsi, la situation devrait évoluer positivement dans les prochaines années à venir.